Carrières Avis de décèsÉdition Électronique Rabaischocs.com Infolettre

Recherche

Recherche par terme

Journaliste

Date de parution

_

Catégories

Actualités

Retour

21 juin 2024

Annie Levasseur - alevasseur@medialo.ca

DPJ | Un nombre de signalements stable au Bas-Saint-Laurent

Enfant triste DPJ

©Gracieuseté

La Direction de la protection de la jeunesse du Bas-Saint-Laurent a traité 2903 signalements dans la dernière année.

Le nombre de signalements à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) du Bas-Saint-Laurent a été stable en 2023-2024 si l’on compare avec l’année précédente.

Six situations de moins ont été signalées cette année. La DPJ du Bas-Saint-Laurent a traité 2903 signalements et, de ce nombre, 912 ont été retenus. Le taux de rétention des signalements est de 31,4 % par rapport 27,8 % en 2022-2023.

La DPJ a pris en charge 1083 enfants, dont 316 nouvelles situations. Plus d’un enfant sur deux est suivi pour des motifs de négligence et de risque sérieux de négligence. Parmi les signalements, 301 sont pour le motif de l’exposition à la violence conjugale. Le nombre d’adolescents qui ont reçu des services en vertu de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents a augmenté de 4,2 % par rapport à 2022-2023.

Dans la province, 134 871 signalements ont été traités en 2023-2024, soit une diminution de 0,8 % par rapport à l’année précédente. De ce nombre, 42 378 signalements ont été retenus. Les signalements pour exposition à la violence conjugale comptent pour 12,5 % de tous les signalements reçus. Cela représente 47 signalements par jour au Québec.

Pour les directeurs de la protection de la jeunesse, la violence conjugale a des effets dévastateurs sur les enfants et les jeunes, touchant leur bien-être émotionnel, mental et physique. Il est crucial, selon eux, de reconnaître que les enfants exposés à la violence conjugale peuvent vivre de la peur et de l’insécurité, ce qui peut entraîner des problèmes de santé mentale, des troubles du comportement et des difficultés scolaires. Ils ajoutent que la violence dans le foyer perturbe le développement normal de l'enfant, affectant leur capacité à établir des relations saines et à se sentir en sécurité.  

Commentaires

Inscrivez votre commentaire

Politique d'utilisation Politique de confidentialité

Agence Web - Caméléon Média